Depuis plus de 20 ans, Le Moellon Vert révèle le potentiel des matériaux simples pour créer une architecture contextuelle, où l’esthétisme singulier naît de l’assemblage judicieux d’éléments populaires et durables.
Depuis sa création en 2006, Le Moellon Vert façonne des espaces en alliant passion, innovation et engagement écologique. Découvrez les étapes clés qui ont marqué notre parcours.
Notre patronyme révèle notre philosophie : l’association d’un matériau industriel et d’une couleur environnementale traduit notre approche.
Nous croyons que l’emploi de matériaux simples peut véhiculer un esthétisme singulier dans la recherche du luxe de l’espace et d’inclusion dans le paysage.
L’architecture est tout sauf un bien de consommation, mais le premier lieu d’échange, à l’origine de la conception de votre lieu de vie.
Notre atelier réunit six professionnels animés par une même vision : créer des espaces sur mesure, durables et adaptés aux besoins de chacun.
Dirigée par Eric Pitrat, Sacha Barbiery et Aymeric Menassanch, l’équipe combine expertise en architecture, suivi de projet et assistance technique, pour répondre aux attentes des particuliers comme des professionnels.
Nos projets attirent l’intérêt des médias. Découvrez les articles qui mettent en lumière notre savoir-faire et notre engagement pour une architecture durable.
Chaque projet est une rencontre unique entre créativité et durabilité. Découvrez nos réalisations emblématiques.
Transformation d’un ancien restaurant pour accueillir Amici, concept joyeux de vinyles et pizzas napolitaines.
Aménagement réalisé avec notre comparse Lewis Faucon.
Les fortes contingences réglementaires de la parcelle ont coïncidé à cette “envie de paysage”, chère à la vague d’architecturale “naturaliste” à laquelle le projet fait référence (notamment la « Taylor’s House » de Neutra) où l’architecture s’intègre sans imposer de barrière, tout au moins le minimum possible.
Basé sur une trame constructive régulière afin de radicaliser et optimiser la construction et suivant un axe principal, véritable « colonne vertébrale » de l’ensemble, le projet, dont les pans de murs opaques sont limités pour laisser place à de larges vitrages assurant le rôle de « membranes minimum » renvoie à cette intégration « totale » au paysage et une interpénétration des deux milieux.
Le Lyautey, immeuble cossu de la fin des années 60, est situé en en retrait d’une rue du Quartier de Châteauvert à Valence. Les quatre façades sont caractérisées par un vocabulaire différent, des typologies et modénatures très affirmées.
La façade Sud : balcons filants vers une vue dégagée et façade largement vitrée. Façade « d’apparat », tels les ponts d’un navire de croisière.
S’affirmant comme la façade principale, elle affirme l’horizontalité des proportions du bâtiment.
Seulement linéaire, elle apparait comme une seule unité, un ensemble, étiré sur toute sa longueur. Seuls les escaliers des porches créent un rythme.
Les balcons à larges débordements semblent se projeter vers l’Ouest en accentuant encore l’élancement de la façade.
Cette façade, vitrée à plus de 60%, est principalement marquée par les balcons blancs en premier plan et par les bandeaux de volets roulants. Ces éléments marquent tous deux l’horizontalité.
L’essentiel du projet se trouve dans sa caractéristique technique (réhabilitation thermique globale de la copropriété) mais permet également au bâtiment de retrouver une nouvelle fraicheur tout en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel.
Isolation par l’extérieur des façades Nord, Est et Ouest, le remplacement de toutes les menuiseries sur toutes les façades; l’isolation de la sous-face de la dalle haute des garages et caves et la mise en place d’une VMC dans tous les logements. L’ensemble des façades non ré-isolées (façade Sud et façades du RDC) seront rénovées et repeintes, ainsi que tous les éléments extérieurs (garde-coprs métal, portes de garage…).
Sur l’ensemble des locaux commerciaux et bureaux: le remplacement de toutes les menuiseries et une réfection de toutes les façades.
La « Grande Maison » est un ensemble de 44 logements construit dans les années 30, s’étendant sur 143 mètres de long et 9,5 mètres de large.
La réhabilitation technique a principalement porté sur l’isolation extérieure, la ventilation et la sécurité, tout en réaménageant les cuisines, salles de bains et parties communes.
Les façades, bien que longues, présentent des caractéristiques distinctes : la façade Nord, plate et rythmée par les entrées, donne une impression d’infinité, tandis que la façade Sud, ornée de balcons et de menuiseries variées, offre une composition plus dynamique.
Ainsi, pour briser la «monotonie» des ouvertures Nord, des volets coulissants sont installés avec un sens d’ouverture aléatoire mais en conservant une teinte unique.
Aussi la teinte bleu électrique des huisseries d’entrée existantes sera prolongée dans l’alignement des génoises sur la façade ainsi qu’à des numéros de rue peints en grands caractères.
Extension pour le cabinet d’une psychiatre
L’ensemble bâti est une ancienne ferme, présentant une grande façade Ouest surplombant la vue sur le paysage lointain.
Le projet consiste en la réhabilitation d’une dépendance située au Sud de la maison en un espace de travail très ouvert sur le jardin et deux espaces
bureaux. Une continuité intérieur-extérieur réinvente le lien vers le paysage, remodelé.
Esthétiquement, le projet respecte la volumétrie et les matériaux de l’existant en laissant visible l’enveloppe bâtie initiale sous laquelle le projet s’insère, en ayant recours à un langage plus contemporain.
ARCHIVES DÉPARTEMENTALES
Maîtrise d’ouvrage : Conseil Général de la Drôme
Le projet prétexte la réhabilitation thermique pour un relooking des archives départementales, remplacement des trois murs rideaux sur trois niveaux habillant le cœur du bâtiment originel de 1972 et des menuiseries extérieures.
La trame des éléments de structure des nouveaux murs rideaux respectent la trame existante, teintes RAL « turquoise menthe » et « turquoise pastel » pour les ensembles menuisés et stores occultants mettant en contraste la teinte sable du béton brut.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses différents pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Cet ensemble de bureaux, bâtiment aux panneaux de façades préfabriqués datant des années 80 a été totalement repris pour accueillir à la fois un lieu de travail – bureaux, salle de réunion – des salles d’entretien ouvertes au public et un espace dédié aux jeunes.
Un travail de remise en valeur des façades, des sols a été réalisé, certains luminaires mis aux normes, l’enveloppe réisolée et le tout équipé de systèmes de ventilation et chauffage très performants (double flux et PAC eau/eau) …
Construite selon un système « tout bois » avec ossature et isolation en laine, la maison vise une empreinte écologique et des coûts d’usage très faibles. Cette technique, associée à de larges ouvertures permettant de bons apports solaires, positionne la maison dans la catégorie « bio-climatique ».
Le projet résulte d’une volonté d’intégration dans le paysage, d’une envie de se mêler à la nature environnante.
Le terrain est ainsi laissé naturel, la maison se faufile: les arbres sont conservés au maximum et l’implantation de la maison est pensée pour créer un véritable dialogue entre le végétal et le bâti.
Le projet résulte d’une volonté esthétique résolument contemporaine (issue du mouvement moderne et des courants cubistes) et d’un cadre d’implantation contraint.
S’étirant d’Est en Ouest en allant chercher les limites séparatives, le projet offre à la fois un dégagement maximal sur le jardin comme une « protection » des vues depuis les espaces publics et les parcelles voisines.
Dans cette optique et pour créer un jeu de transparences et « agrandir visuellement » l’espace, la maison s’organise en deux bandes parallèles, séparées par deux patios qui sont autant de « respirations » face à cette densité.
Une maison traditionnelle des années 1990, un environnement et une vue magnifique ont orienté le projet vers une ouverture complète des espaces de jour sur le paysage. Prolongées par des casquettes, les façades vitrées abolissent la frontière entre l’intérieur et l’extérieur.
Le nouveau volume de séjour et la rénovation esthétique de l’ensemble de la maison permettent une transformation globale.