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ILOT B2B / 14 LOGEMENTS INDIVIDUELS BBC +10%
A Bourg Les Valence, un nouveau quartier mixte en plein développement le long de l’avenue de Lyon traversant la ville où se côtoient équipements, commerces et logements collectifs.
Une parcelle formant la terminaison Sud d’un ilot, logée entre une noue piétonne paysagée et la voie SNCF doublée d’un boulevard très usité.
Ainsi deux contraintes subies à apprivoiser ; flux de piéton et acoustique du flux motorisé.
Des envies simples : redonner des espaces verts à partager aux habitants du programme et au quartier, créer de espaces extérieurs individuels généreux.
– un bâtiment dont les façades et les points de fuite se connectent visuellement aux gabarits environnants.
– Un bâtiment à la façade principale Sud légèrement anguleuse afin de « casser » les réverbérations acoustiques et signaler l’entrée.
La façade Nord accueille la coursive de desserte des étages et propose des logements traversants Nord-Sud.
– Un bâtiment où chaque logement possède une terrasse, en retrait du nu de façade Sud, formant ainsi des protections solaires et une vue dégagée.
Au dernier étage un attique où trois logements exposés Sud possèdent de grandes terrasses avec vue.
Le niveau d’acrotère du niveau en attique fluctuant volontairement de 1.00m du point le plus bas-côté Ouest vers 2.00m, le point le plus haut côté centre permet protège des vis-à-vis au dernier étage.
La structure est en béton banché, les menuiseries extérieures sont en bois avec procédé NABOCO, l’isolation extérieure de 160mm recouverte d’un enduit minéral.
Le chauffage est réalisé vie des chaudières Gaz individuelles.
Découvrez en images le savoir-faire de notre équipe et les choix qui rendent ce projet si singulier.
Le Lyautey, immeuble cossu de la fin des années 60, est situé en en retrait d’une rue du Quartier de Châteauvert à Valence. Les quatre façades sont caractérisées par un vocabulaire différent, des typologies et modénatures très affirmées.
La façade Sud : balcons filants vers une vue dégagée et façade largement vitrée. Façade « d’apparat », tels les ponts d’un navire de croisière.
S’affirmant comme la façade principale, elle affirme l’horizontalité des proportions du bâtiment.
Seulement linéaire, elle apparait comme une seule unité, un ensemble, étiré sur toute sa longueur. Seuls les escaliers des porches créent un rythme.
Les balcons à larges débordements semblent se projeter vers l’Ouest en accentuant encore l’élancement de la façade.
Cette façade, vitrée à plus de 60%, est principalement marquée par les balcons blancs en premier plan et par les bandeaux de volets roulants. Ces éléments marquent tous deux l’horizontalité.
L’essentiel du projet se trouve dans sa caractéristique technique (réhabilitation thermique globale de la copropriété) mais permet également au bâtiment de retrouver une nouvelle fraicheur tout en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel.
Isolation par l’extérieur des façades Nord, Est et Ouest, le remplacement de toutes les menuiseries sur toutes les façades; l’isolation de la sous-face de la dalle haute des garages et caves et la mise en place d’une VMC dans tous les logements. L’ensemble des façades non ré-isolées (façade Sud et façades du RDC) seront rénovées et repeintes, ainsi que tous les éléments extérieurs (garde-coprs métal, portes de garage…).
Sur l’ensemble des locaux commerciaux et bureaux: le remplacement de toutes les menuiseries et une réfection de toutes les façades.
La « Grande Maison » est un ensemble de 44 logements construit dans les années 30, s’étendant sur 143 mètres de long et 9,5 mètres de large.
La réhabilitation technique a principalement porté sur l’isolation extérieure, la ventilation et la sécurité, tout en réaménageant les cuisines, salles de bains et parties communes.
Les façades, bien que longues, présentent des caractéristiques distinctes : la façade Nord, plate et rythmée par les entrées, donne une impression d’infinité, tandis que la façade Sud, ornée de balcons et de menuiseries variées, offre une composition plus dynamique.
Ainsi, pour briser la «monotonie» des ouvertures Nord, des volets coulissants sont installés avec un sens d’ouverture aléatoire mais en conservant une teinte unique.
Aussi la teinte bleu électrique des huisseries d’entrée existantes sera prolongée dans l’alignement des génoises sur la façade ainsi qu’à des numéros de rue peints en grands caractères.
ILOT B2B / 14 LOGEMENTS INDIVIDUELS BBC +10%
A Bourg Les Valence, un nouveau quartier mixte en plein développement le long de l’avenue de Lyon traversant la ville où se côtoient équipements, commerces et logements collectifs.
Une parcelle formant la terminaison Sud d’un ilot, logée entre une noue piétonne paysagée et la voie SNCF doublée d’un boulevard très usité.
Ainsi deux contraintes subies à apprivoiser ; flux de piéton et acoustique du flux motorisé.
Des envies simples : redonner des espaces verts à partager aux habitants du programme et au quartier, créer de espaces extérieurs individuels généreux.
– un bâtiment dont les façades et les points de fuite se connectent visuellement aux gabarits environnants.
– Un bâtiment à la façade principale Sud légèrement anguleuse afin de « casser » les réverbérations acoustiques et signaler l’entrée.
La façade Nord accueille la coursive de desserte des étages et propose des logements traversants Nord-Sud.
– Un bâtiment où chaque logement possède une terrasse, en retrait du nu de façade Sud, formant ainsi des protections solaires et une vue dégagée.
Au dernier étage un attique où trois logements exposés Sud possèdent de grandes terrasses avec vue.
Le niveau d’acrotère du niveau en attique fluctuant volontairement de 1.00m du point le plus bas-côté Ouest vers 2.00m, le point le plus haut côté centre permet protège des vis-à-vis au dernier étage.
La structure est en béton banché, les menuiseries extérieures sont en bois avec procédé NABOCO, l’isolation extérieure de 160mm recouverte d’un enduit minéral.
Le chauffage est réalisé vie des chaudières Gaz individuelles.
Le projet se situe à Bourg lès Valence, dans un quartier résidentiel et de petits commerces, en plein centre-ville.
Décor : la parcelle est une « proue » d’un îlot d’habitation, proche de la nationale 7 et face à la ligne de train Valence Grenoble… Le niveau sonore à un indice très élevé
Aucun angle droit et orientée quasiment entièrement plein Nord, soumise à la contrainte du Mistral.
Le franchissement d’un petit canal en limite et sa préservation et zone inondable…
Tout pour plaire !
Le Projet propose 7 logements avec stationnement privatif, caves et balcon ou jardin.
Chaufferie collective et local à vélos et poussettes.
Structure primaire en Béton banché label THPE, isolation par l’extérieur pour des performances acoustique et thermique renforcées, enduits chaux et peinture minérale KEIM, menuiseries à rupture de pont thermique et vitrages à isolation renforcée.
Une chaudière collective à condensation fonctionnant au Gaz naturel sera installée au Rez de
Chaussée. La production d’ECS sera assurée par 12 m² de panneaux solaires installés sur la toiture terrasse.
Réponses projectuelles /
1.Eclairage naturel des logements
Création des ouvertures sur la façade Nord (commune à tous les logements) par l’utilisation rationnelle de trois formats différents, où leur disposition verticale ou horizontale «aléatoire » permet à la fois un confort visuel et une juste attribution de la lumière naturelle.
Les ouvertures de la façade Ouest reprennent le rythme rigoureux des façades voisines.
2.Traitement de la proue et intégration de l’ensemble
Une architecture contemporaine, de fait « ultra urbaine » où les sont façades traitées indépendamment : à l’Ouest, le rôle de proue d’îlot, verticale et repérable, stricte, géométrique, seulement animée par les fenêtres d’angle et « balcons de vigie ».
Alors que la proue s’érige, la façade Nord s’étend le long du canal, comme le corps principal, dans la perspective de la cheminée de la Cartoucherie. Des coursives s’adossent, le vent y souffle, le canal et les filtres lui apportent mobilité et protection.
Réhabilitation lourde de 144 logements distribués en deux grandes entités « Les Champs I » et les « Champs II ».
Ces deux entités se divisent elles-mêmes en plusieurs unités munies chacune d’une entrée spécifique.
Ce véritable quartier dont les généreux espaces communs très végétalisés offrent une belle respiration entre les corps bâtis qui abritent un panel mixte de locataires et de propriétaires et de tous les âges.
Opération de réhabilitation thermique complète des corps bâtis qui impliquait la question de la redéfinition esthétique de l’ensemble.
Nous restons sobres en utilisant une couleur de fond de façade se voulant d’assurer l’homogénéité ; Adoucir une vue d’ensemble et unifier les morphologies pour chaque architecture faite de lignes brisées et de redans.
Ainsi de simple bandeaux de couleur viennent ponctuellement apporter des touches de fraicheur sur ce fond de façade lumineux mais discret.
Ce choix de gris nous permettait d’allier un panel de couleurs très large.
Pour une lecture plus claire des accès aux logements, chaque entrée distincte s’est vu associer à une couleur très visible.
Un quartier principalement résidentiel où alternent maisons individuelles de plain-pied et logements collectifs sur deux à quatre étages.
Un programme de réhabilitation thermique de 37 logements distribués en deux bâtiments de trois étages longilignes organisés le long de la voirie et en retrait de l’espace public via une zone de stationnement contiguë à un parc arboré. Le bâtiment le plus massif s’étend sur une trentaine de mètres, le long de la voirie à sens unique.
Via ce programme d’amélioration thermique, l’occasion de dynamiser et égayer les façades et les entrées de ces « paquebots » sur l’espace public, créer des espaces extérieurs qualitatifs.
La mise en valeur des façades fut apportée via l’utilisation de deux couleurs complémentaires, relativement osées; l’une qui marque les entrées et les spécificités des façades arrière sur cour est tirée d’une adaptation au premier degré du nom de la copropriété, l’autre plus profonde et calme souligne de façon irrégulière l’encadrement des menuiseries afin de dynamiser les façades et donner à voir du changement visuel.
Les travaux réalisés :
– Mise en œuvre d’une isolation par l’extérieur recouverte d’un enduit minéral.
– Isolation des sous face du plafond des caves.
– Changement des menuiseries des communs (montée d’escalier)
– création des locaux poubelles extérieurs.
– Peinture sur l’ensemble des garages extérieurs
LES PAVILLONS DE DAURELLE / 18 LOGEMENTS INDIVIDUELS BBC +
Situé en première ceinture périphérique de Montélimar entre le centre historique et la zone commerciale Sud, un quartier mixte, entre résidences individuelles de plain-pied et logements collectifs en R+4 / R+5.
Le terrain support du projet d’environ 5 000m² forme un triangle avec linéaire sur rue de 130 mètres
Les logements à destination de locatif social sont de même typologie : chaque maison d’environ 90m² est accompagnée d’un jardinet d’environ 40m² et une terrasse.
De larges espaces communs végétalisés apportent à l’ensemble construit des respirations fédératrices d’usages pour les habitants.
Les ensembles de logements en R+1 sont composés par groupe de quatre, à une échelle intermédiaire à la rencontre entre le logement individuel isolé et le petit collectif.
30 LOGEMENTS COLLECTIFS à VALENCE
Deux corps bâtis unifiés par un espace collectif central.
Ce « vide » se décline en deux strates horizontales :
– un parvis au premier niveau accueille les distributions des jardins et terrasses privés, un terrain de boules au-dessus des places de stationnements.
– une « piste verte » en forme de vague dans la continuité de la dalle de la coursive intègre un toboggan pour les enfants.
Ce dernier espace est une continuité reliant naturellement la coursive plus minérale à l’espace vert collectif au Rez de Chaussée en s’affirmant comme le terrain de jeux exclusif des enfants.
La volonté d’offrir une double orientation à tous les logements a engendré une conception des accès par un système de coursives et d’escaliers en saillie de l’enveloppe générale, désolidarisés de la structure.
Des jardins, terrasses et balcons assurent ainsi la transition entre l’espace collectif et les espaces privés.
Réhabilitation thermique globale de 78 logements tout en permettant au bâtiment de retrouver une nouvelle fraîcheur en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel et en ajoutant une touche contemporaine.
Isolation par l’extérieur des façades, remplacement des menuiseries et fermetures les plus anciennes sur toutes les façades, nouvelle VMC dans tous les logements.
Le Chantilly, immeuble de standing du début des années 60, est situé en partie basse de la rue Faventines, proche des Boulevards à Valence. Implanté en renfoncement de la voie publique, le bâtiment est comme « protégé » par cette placette où est planté un palmier dattier, symbole, tel l’oasis, de richesse et de prospérité. Orientée Sud-Ouest, sa façade principale largement vitrée, avec ses balcons filants, offre une vue dégagée et un ensoleillement des logements très confortable.
Réhabilitation thermique et technique globale de la copropriété en permettant au bâtiment de retrouver une nouvelle fraîcheur tout en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel.
Isolation par l’extérieur des façades, remplacement des anciennes menuiseries, VMC dans tous les logements et le remplacement des équipements communs de chauffage. La façade Sud, non isolée, sera rénovée et repeinte, ainsi que tous les éléments extérieurs (garde-corps métal, stores bannes, volets roulants, petits éléments de serrurerie…).
Une teinte unique forme le cadre et l’ensemble des étages, les balcons se « détachant » dans une gamme de couleurs contrastées.
Sur un camaïeu de bleus, les nuances font ressortir chaque élément tout en créant un tout, mettant en valeur les espaces extérieurs.
Les garde-corps recevront un vitrage coloré avec un dégradé d’opacité de bas en haut, répondant à la demande d’intimité des copropriétaires. Tout en assurant la protection visuelle depuis la rue et les logements en vis à vis, le taux de transparence augmente au fur et à mesure de la progression aux étages (de 80 à 20% environ).
Le Diplodocus.
Réhabilitation lourde de 16 logements.
La maîtrise d’ouvrage avait la ferme intention de démarquer nettement son bâti des autres bâtiments à usage d’habitat collectif du quartier, tous propriétés d’un autre bailleur social.
Le bâti massif, trappu se développe en R+3 et sur environ 30 mètres de long tel un pachyderme. Au regard d’une enveloppe que nous devions reprendre pour l’isoler extérieurement, nous avons insisté pour prononcer l’effet massif de ce bâtiment en lui amenant une image qui pouvait être marquante et qui pouvait faire parler ou se repérer, notamment pour les enfants du quartier qui viennent à l’école quotidiennement et qui pouvait jouer avec les arbres feuillus bordant l’édifice. En fuyant les appellations assez communes des Myosotis ou des Lilas, l’image d’un Diplodocus nous est venue naturellement … son corps apparaissant et disparaissant au gré des saisons … C’est une peintre locale qui se chargea de la mise en œuvre.
Sur une douzaine de logements le principe a été de décloisonner l’entrée et d’éclaircir le long dégagement sombre desservant les chambres via un mur une cloison bois à clairevoie.
Sur les logements d’une même colonne, ce principe a été extrapolé sur les grand logements par un système de bloc central regroupant rangements associés à l’entrée, local technique. Ce bloc giratoire entre la cuisine et le séjour permet ainsi une circulation fluide entre la cuisine et le séjour tout en rendant l’appartement traversant Est-Ouest.
Réhabilitation technique et thermique de la copropriété « Le RHÔNE-ALPES I » à Bourg Les Valence composée de cinq « barres » d’habitation, ainsi que les aménagements extérieurs.
Cette copropriété totalise 287 logements.
Les travaux réalisés :
– l’isolation thermique par l’extérieur.
– le remplacement de tous les garde-corps de loggias
– la reprise en peinture de l’ensemble des murs de soubassement.
– la pose de volets roulants en remplacement des persiennes métalliques.
– la réfection de l’étanchéité en toiture.
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la reprise en peinture et de l’étanchéité des auvents d’entrée
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la résidentialisation des extérieurs comprenant la pose de clôture et la pose deux portails et portillons électriques
– la refonte des stationnements.
Le projet consiste en la réhabilitation technique et thermique de la copropriété « Le RHONEALPES II » à Bourg Les Valence.
Cette copropriété totalise 136 logements.
Les travaux de réhabilitation technique et thermique consistent principalement à :
– l’isolation thermique par l’extérieur via la pose d’un complexe et recouvert d’un enduit minéral .
– le changement de l’ensemble des menuiseries extérieures des logements par des menuiseries PVC au format identique à l’existant.
– la pose de volets roulants PVC en remplacement des persiennes métalliques existantes.
– le changement des fermetures vitrées de l’ensemble des loggias par des voiles ajourés en tôle d’aluminium laqué.
– le changement de la chaudière collective.
– la réfection de l’étanchéité en toiture.
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la création d’un auvent extérieur de protection au-dessus de chaque entrée principale de chaque tour.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses deux pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Rénovation complète de l’ensemble bâti.
Le rez-de-chaussée accueille des bureaux entièrement réorganisés.
Les deux niveaux supérieurs répartissent trois grands logements.
Le projet consiste en la réhabilitation technique et thermique de la copropriété « Le RHONEALPES II » à Bourg Les Valence.
Cette copropriété totalise 136 logements.
Les travaux de réhabilitation technique et thermique consistent principalement à :
– l’isolation thermique par l’extérieur via la pose d’un complexe et recouvert d’un enduit minéral .
– le changement de l’ensemble des menuiseries extérieures des logements par des menuiseries PVC au format identique à l’existant.
– la pose de volets roulants PVC en remplacement des persiennes métalliques existantes.
– le changement des fermetures vitrées de l’ensemble des loggias par des voiles ajourés en tôle d’aluminium laqué.
– le changement de la chaudière collective.
– la réfection de l’étanchéité en toiture.
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la création d’un auvent extérieur de protection au-dessus de chaque entrée principale de chaque tour.
Réhabilitation thermique globale de 78 logements tout en permettant au bâtiment de retrouver une nouvelle fraîcheur en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel et en ajoutant une touche contemporaine.
Isolation par l’extérieur des façades, remplacement des menuiseries et fermetures les plus anciennes sur toutes les façades, nouvelle VMC dans tous les logements.
Un quartier principalement résidentiel où alternent maisons individuelles de plain-pied et logements collectifs sur deux à quatre étages.
Un programme de réhabilitation thermique de 37 logements distribués en deux bâtiments de trois étages longilignes organisés le long de la voirie et en retrait de l’espace public via une zone de stationnement contiguë à un parc arboré. Le bâtiment le plus massif s’étend sur une trentaine de mètres, le long de la voirie à sens unique.
Via ce programme d’amélioration thermique, l’occasion de dynamiser et égayer les façades et les entrées de ces « paquebots » sur l’espace public, créer des espaces extérieurs qualitatifs.
La mise en valeur des façades fut apportée via l’utilisation de deux couleurs complémentaires, relativement osées; l’une qui marque les entrées et les spécificités des façades arrière sur cour est tirée d’une adaptation au premier degré du nom de la copropriété, l’autre plus profonde et calme souligne de façon irrégulière l’encadrement des menuiseries afin de dynamiser les façades et donner à voir du changement visuel.
Les travaux réalisés :
– Mise en œuvre d’une isolation par l’extérieur recouverte d’un enduit minéral.
– Isolation des sous face du plafond des caves.
– Changement des menuiseries des communs (montée d’escalier)
– création des locaux poubelles extérieurs.
– Peinture sur l’ensemble des garages extérieurs
Réhabilitation lourde de 144 logements distribués en deux grandes entités « Les Champs I » et les « Champs II ».
Ces deux entités se divisent elles-mêmes en plusieurs unités munies chacune d’une entrée spécifique.
Ce véritable quartier dont les généreux espaces communs très végétalisés offrent une belle respiration entre les corps bâtis qui abritent un panel mixte de locataires et de propriétaires et de tous les âges.
Opération de réhabilitation thermique complète des corps bâtis qui impliquait la question de la redéfinition esthétique de l’ensemble.
Nous restons sobres en utilisant une couleur de fond de façade se voulant d’assurer l’homogénéité ; Adoucir une vue d’ensemble et unifier les morphologies pour chaque architecture faite de lignes brisées et de redans.
Ainsi de simple bandeaux de couleur viennent ponctuellement apporter des touches de fraicheur sur ce fond de façade lumineux mais discret.
Ce choix de gris nous permettait d’allier un panel de couleurs très large.
Pour une lecture plus claire des accès aux logements, chaque entrée distincte s’est vu associer à une couleur très visible.
Le Chantilly, immeuble de standing du début des années 60, est situé en partie basse de la rue Faventines, proche des Boulevards à Valence. Implanté en renfoncement de la voie publique, le bâtiment est comme « protégé » par cette placette où est planté un palmier dattier, symbole, tel l’oasis, de richesse et de prospérité. Orientée Sud-Ouest, sa façade principale largement vitrée, avec ses balcons filants, offre une vue dégagée et un ensoleillement des logements très confortable.
Réhabilitation thermique et technique globale de la copropriété en permettant au bâtiment de retrouver une nouvelle fraîcheur tout en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel.
Isolation par l’extérieur des façades, remplacement des anciennes menuiseries, VMC dans tous les logements et le remplacement des équipements communs de chauffage. La façade Sud, non isolée, sera rénovée et repeinte, ainsi que tous les éléments extérieurs (garde-corps métal, stores bannes, volets roulants, petits éléments de serrurerie…).
Une teinte unique forme le cadre et l’ensemble des étages, les balcons se « détachant » dans une gamme de couleurs contrastées.
Sur un camaïeu de bleus, les nuances font ressortir chaque élément tout en créant un tout, mettant en valeur les espaces extérieurs.
Les garde-corps recevront un vitrage coloré avec un dégradé d’opacité de bas en haut, répondant à la demande d’intimité des copropriétaires. Tout en assurant la protection visuelle depuis la rue et les logements en vis à vis, le taux de transparence augmente au fur et à mesure de la progression aux étages (de 80 à 20% environ).
Le projet se situe à Bourg lès Valence, dans un quartier résidentiel et de petits commerces, en plein centre-ville.
Décor : la parcelle est une « proue » d’un îlot d’habitation, proche de la nationale 7 et face à la ligne de train Valence Grenoble… Le niveau sonore à un indice très élevé
Aucun angle droit et orientée quasiment entièrement plein Nord, soumise à la contrainte du Mistral.
Le franchissement d’un petit canal en limite et sa préservation et zone inondable…
Tout pour plaire !
Le Projet propose 7 logements avec stationnement privatif, caves et balcon ou jardin.
Chaufferie collective et local à vélos et poussettes.
Structure primaire en Béton banché label THPE, isolation par l’extérieur pour des performances acoustique et thermique renforcées, enduits chaux et peinture minérale KEIM, menuiseries à rupture de pont thermique et vitrages à isolation renforcée.
Une chaudière collective à condensation fonctionnant au Gaz naturel sera installée au Rez de
Chaussée. La production d’ECS sera assurée par 12 m² de panneaux solaires installés sur la toiture terrasse.
Réponses projectuelles /
1.Eclairage naturel des logements
Création des ouvertures sur la façade Nord (commune à tous les logements) par l’utilisation rationnelle de trois formats différents, où leur disposition verticale ou horizontale «aléatoire » permet à la fois un confort visuel et une juste attribution de la lumière naturelle.
Les ouvertures de la façade Ouest reprennent le rythme rigoureux des façades voisines.
2.Traitement de la proue et intégration de l’ensemble
Une architecture contemporaine, de fait « ultra urbaine » où les sont façades traitées indépendamment : à l’Ouest, le rôle de proue d’îlot, verticale et repérable, stricte, géométrique, seulement animée par les fenêtres d’angle et « balcons de vigie ».
Alors que la proue s’érige, la façade Nord s’étend le long du canal, comme le corps principal, dans la perspective de la cheminée de la Cartoucherie. Des coursives s’adossent, le vent y souffle, le canal et les filtres lui apportent mobilité et protection.
Le Diplodocus.
Réhabilitation lourde de 16 logements.
La maîtrise d’ouvrage avait la ferme intention de démarquer nettement son bâti des autres bâtiments à usage d’habitat collectif du quartier, tous propriétés d’un autre bailleur social.
Le bâti massif, trappu se développe en R+3 et sur environ 30 mètres de long tel un pachyderme. Au regard d’une enveloppe que nous devions reprendre pour l’isoler extérieurement, nous avons insisté pour prononcer l’effet massif de ce bâtiment en lui amenant une image qui pouvait être marquante et qui pouvait faire parler ou se repérer, notamment pour les enfants du quartier qui viennent à l’école quotidiennement et qui pouvait jouer avec les arbres feuillus bordant l’édifice. En fuyant les appellations assez communes des Myosotis ou des Lilas, l’image d’un Diplodocus nous est venue naturellement … son corps apparaissant et disparaissant au gré des saisons … C’est une peintre locale qui se chargea de la mise en œuvre.
Sur une douzaine de logements le principe a été de décloisonner l’entrée et d’éclaircir le long dégagement sombre desservant les chambres via un mur une cloison bois à clairevoie.
Sur les logements d’une même colonne, ce principe a été extrapolé sur les grand logements par un système de bloc central regroupant rangements associés à l’entrée, local technique. Ce bloc giratoire entre la cuisine et le séjour permet ainsi une circulation fluide entre la cuisine et le séjour tout en rendant l’appartement traversant Est-Ouest.
30 LOGEMENTS COLLECTIFS à VALENCE
Deux corps bâtis unifiés par un espace collectif central.
Ce « vide » se décline en deux strates horizontales :
– un parvis au premier niveau accueille les distributions des jardins et terrasses privés, un terrain de boules au-dessus des places de stationnements.
– une « piste verte » en forme de vague dans la continuité de la dalle de la coursive intègre un toboggan pour les enfants.
Ce dernier espace est une continuité reliant naturellement la coursive plus minérale à l’espace vert collectif au Rez de Chaussée en s’affirmant comme le terrain de jeux exclusif des enfants.
La volonté d’offrir une double orientation à tous les logements a engendré une conception des accès par un système de coursives et d’escaliers en saillie de l’enveloppe générale, désolidarisés de la structure.
Des jardins, terrasses et balcons assurent ainsi la transition entre l’espace collectif et les espaces privés.
Réhabilitation technique et thermique de la copropriété « Le RHÔNE-ALPES I » à Bourg Les Valence composée de cinq « barres » d’habitation, ainsi que les aménagements extérieurs.
Cette copropriété totalise 287 logements.
Les travaux réalisés :
– l’isolation thermique par l’extérieur.
– le remplacement de tous les garde-corps de loggias
– la reprise en peinture de l’ensemble des murs de soubassement.
– la pose de volets roulants en remplacement des persiennes métalliques.
– la réfection de l’étanchéité en toiture.
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la reprise en peinture et de l’étanchéité des auvents d’entrée
– le flocage de la sous face des plafonds des caves.
– la résidentialisation des extérieurs comprenant la pose de clôture et la pose deux portails et portillons électriques
– la refonte des stationnements.
La « Grande Maison » est un ensemble de 44 logements construit dans les années 30, s’étendant sur 143 mètres de long et 9,5 mètres de large.
La réhabilitation technique a principalement porté sur l’isolation extérieure, la ventilation et la sécurité, tout en réaménageant les cuisines, salles de bains et parties communes.
Les façades, bien que longues, présentent des caractéristiques distinctes : la façade Nord, plate et rythmée par les entrées, donne une impression d’infinité, tandis que la façade Sud, ornée de balcons et de menuiseries variées, offre une composition plus dynamique.
Ainsi, pour briser la «monotonie» des ouvertures Nord, des volets coulissants sont installés avec un sens d’ouverture aléatoire mais en conservant une teinte unique.
Aussi la teinte bleu électrique des huisseries d’entrée existantes sera prolongée dans l’alignement des génoises sur la façade ainsi qu’à des numéros de rue peints en grands caractères.
Le Lyautey, immeuble cossu de la fin des années 60, est situé en en retrait d’une rue du Quartier de Châteauvert à Valence. Les quatre façades sont caractérisées par un vocabulaire différent, des typologies et modénatures très affirmées.
La façade Sud : balcons filants vers une vue dégagée et façade largement vitrée. Façade « d’apparat », tels les ponts d’un navire de croisière.
S’affirmant comme la façade principale, elle affirme l’horizontalité des proportions du bâtiment.
Seulement linéaire, elle apparait comme une seule unité, un ensemble, étiré sur toute sa longueur. Seuls les escaliers des porches créent un rythme.
Les balcons à larges débordements semblent se projeter vers l’Ouest en accentuant encore l’élancement de la façade.
Cette façade, vitrée à plus de 60%, est principalement marquée par les balcons blancs en premier plan et par les bandeaux de volets roulants. Ces éléments marquent tous deux l’horizontalité.
L’essentiel du projet se trouve dans sa caractéristique technique (réhabilitation thermique globale de la copropriété) mais permet également au bâtiment de retrouver une nouvelle fraicheur tout en faisant le choix d’affirmer les traits essentiels du langage architectural originel.
Isolation par l’extérieur des façades Nord, Est et Ouest, le remplacement de toutes les menuiseries sur toutes les façades; l’isolation de la sous-face de la dalle haute des garages et caves et la mise en place d’une VMC dans tous les logements. L’ensemble des façades non ré-isolées (façade Sud et façades du RDC) seront rénovées et repeintes, ainsi que tous les éléments extérieurs (garde-coprs métal, portes de garage…).
Sur l’ensemble des locaux commerciaux et bureaux: le remplacement de toutes les menuiseries et une réfection de toutes les façades.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses deux pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Rénovation complète de l’ensemble bâti.
Le rez-de-chaussée accueille des bureaux entièrement réorganisés.
Les deux niveaux supérieurs répartissent trois grands logements.
LES PAVILLONS DE DAURELLE / 18 LOGEMENTS INDIVIDUELS BBC +
Situé en première ceinture périphérique de Montélimar entre le centre historique et la zone commerciale Sud, un quartier mixte, entre résidences individuelles de plain-pied et logements collectifs en R+4 / R+5.
Le terrain support du projet d’environ 5 000m² forme un triangle avec linéaire sur rue de 130 mètres
Les logements à destination de locatif social sont de même typologie : chaque maison d’environ 90m² est accompagnée d’un jardinet d’environ 40m² et une terrasse.
De larges espaces communs végétalisés apportent à l’ensemble construit des respirations fédératrices d’usages pour les habitants.
Les ensembles de logements en R+1 sont composés par groupe de quatre, à une échelle intermédiaire à la rencontre entre le logement individuel isolé et le petit collectif.