Les fortes contingences réglementaires de la parcelle ont coïncidé à cette “envie de paysage”, chère à la vague d’architecturale “naturaliste” à laquelle le projet fait référence (notamment la « Taylor’s House » de Neutra) où l’architecture s’intègre sans imposer de barrière, tout au moins le minimum possible.
Basé sur une trame constructive régulière afin de radicaliser et optimiser la construction et suivant un axe principal, véritable « colonne vertébrale » de l’ensemble, le projet, dont les pans de murs opaques sont limités pour laisser place à de larges vitrages assurant le rôle de « membranes minimum » renvoie à cette intégration « totale » au paysage et une interpénétration des deux milieux.
Les fortes contingences réglementaires de la parcelle ont coïncidé à cette “envie de paysage”, chère à la vague d’architecturale “naturaliste” à laquelle le projet fait référence (notamment la « Taylor’s House » de Neutra) où l’architecture s’intègre sans imposer de barrière, tout au moins le minimum possible.
Basé sur une trame constructive régulière afin de radicaliser et optimiser la construction et suivant un axe principal, véritable « colonne vertébrale » de l’ensemble, le projet, dont les pans de murs opaques sont limités pour laisser place à de larges vitrages assurant le rôle de « membranes minimum » renvoie à cette intégration « totale » au paysage et une interpénétration des deux milieux.
Construite selon un système « tout bois » avec ossature et isolation en laine, la maison vise une empreinte écologique et des coûts d’usage très faibles. Cette technique, associée à de larges ouvertures permettant de bons apports solaires, positionne la maison dans la catégorie « bio-climatique ».
Le projet résulte d’une volonté d’intégration dans le paysage, d’une envie de se mêler à la nature environnante.
Le terrain est ainsi laissé naturel, la maison se faufile: les arbres sont conservés au maximum et l’implantation de la maison est pensée pour créer un véritable dialogue entre le végétal et le bâti.
Le projet résulte d’une volonté esthétique résolument contemporaine (issue du mouvement moderne et des courants cubistes) et d’un cadre d’implantation contraint.
S’étirant d’Est en Ouest en allant chercher les limites séparatives, le projet offre à la fois un dégagement maximal sur le jardin comme une « protection » des vues depuis les espaces publics et les parcelles voisines.
Dans cette optique et pour créer un jeu de transparences et « agrandir visuellement » l’espace, la maison s’organise en deux bandes parallèles, séparées par deux patios qui sont autant de « respirations » face à cette densité.
Une maison traditionnelle des années 1990, un environnement et une vue magnifique ont orienté le projet vers une ouverture complète des espaces de jour sur le paysage. Prolongées par des casquettes, les façades vitrées abolissent la frontière entre l’intérieur et l’extérieur.
Le nouveau volume de séjour et la rénovation esthétique de l’ensemble de la maison permettent une transformation globale.
Nous sommes dans un quartier vert de Valence jonché de Châteaux…
Une vieille chaumière et son petit jardin en front de rue et un ancien garage à voiture en cœur d’îlot.
Mise en commun et réhabilitation pour créer un vaste loft bordé d’un jardin, en travaillant « en creux », par déduction de matière plutôt que par ajout.
Besoin de faire rentrer la lumière dans un espace où seule une large verrière illuminait l’espace de mécanique.
Deux chambres, pensées comme des cabanes accrochées sous le toit, interagissent avec le reste du volume principal par des percements et des galeries qui offrent aux occupants une vue sur l’intérieur et l’extérieur du projet.
Mise en valeur la charpente existante.
La zone cuisine sous la boîte, espace plus intime et de services en partie Nord.
Un espace de bureau de 25m² comme tampon entre réception et zones privatives, un séjour de 70m² entièrement dégagé ouvert sur la cuisine, avec un accès direct sur le jardin. Doubles hauteurs et la verrière est conservée afin d’obtenir un éclairage optimal de la pièce de vie principale.
Localisation : Bourg Lès Valence
Maîtrise d’ouvrage : privé
Début : 2010
Durée : Mission complète, 14 mois
Coût : 170 000 € TTC.
Surface : 155m² à réhabiliter
Une maison de ville le long d’un boulevard du centre ville du bourg, implantée sur une parcelle longiligne et étroite, orientée Sud Ouest- Nord Ouest
La maison se distribue sur trois niveaux dont un niveau en Rez de Chaussée aveugle, très haut de plafond servant d’atelier et de garages, un premier étage servant d’habitation principale prolongée d’une terrasse et d’un deuxième étage alloué aux chambres.
Les enjeux principaux du projet étaient d’une part de rompre le franchissement vertical existant nécessaire pour accéder au premier depuis le garage. Et d’autre part de faire acheminer la lumière naturelle au centre du bâti notamment pour les pièces de vie.
La solution passait invariablement par le percement de la toiture via des fenêtres de toit, des dalles intérieures vitrées sur le plancher du 2ème étage, de larges ouvertures sur la terrasse et d’un décloisonnement généreux des espaces existants.
L’aménagement d’ensemble au premier étage recevant les espaces de jours devaient tenir compte dans la définition et la localisation des espaces de la contrainte filiforme du bâti, contrainte qui imposait dès lors une logique d’implantation fonctionnelle des espaces au regard de la notion d’intimité (au moins intime depuis la rue vers le plus intime côté terrasse).
Le projet conserve la partie atelier et garage au Rez de Chaussée.
La refonte du franchissement vertical a induit la création d’un hall intermédiaire et le déplacement de la porte d’entrée principale qui a été intégrée à la porte de garage
La porte principale originelle a été conservé en « fake » et maquillée.
A l’étage, l’aspect filiforme de la parcelle est révélé par l’enchainement des pièces décloisonnées en la grande perméabilité visuelle entre celle-ci.
L’escalier béton placé au premier tiers du bâti comme à l’existant permet de distribuer le hall central accueillant les espaces techniques et sanitaires. Depuis le hall se distribuent les espaces suivants :
– Côte rue, un généreux espace multimédia pouvant s’ouvrir largement sur les pièces de vie via le hall en permettant les vue traversantes sur toute la longueur de l’habitation.
– Coté terrasse, le salon-séjour en lien direct avec le hall, puis la cuisine s’ouvrant sur la terrasse par un ensemble vitré sur la largeur complète de l’édifice.
A l’étage l’escalier métallique prolongeant l’escalier métallique distribuant le premier étage dessert un hall ou l’on trouve une salle de bains attribuée à deux chambres localisées côté rue. Côte terrasse, vient se loger une chambre parentale accompagnée de sa Salle de bains et dressing privatif.
Le projet se situe à quelques encablures à l’Ouest du centre du Village de Montoison dans la Drôme.
La parcelle de 15 000m² est occupée à 95% par une zone agricole.
L’ensemble de la propriété se constitue d’une demi-douzaine de corps bâtis édifiés à différentes périodes depuis le début du 19ème siècle. L’ancien corps de ferme habité s’est développé en forme de U et se prolonge à son extrémité Sud par une longère.
Le projet de réhabilitation se veut respectueux du patrimoine et de l’architecture locale. Le caractère contemporain de cette transformation, pour des raisons d’apport en lumière naturelle, sera discrètement visible, laissant les matériaux naturels, simples, où le brut prédomine.
Les nouveaux percements préservent les dimensions des existants et sont positionnés volontairement à des hauteurs différentes comme pour préserver le rythme « chaloupé » initial…
Parcelle de lotissement assez vaste : libérer le plus d’espace de jardin au Sud et à l’Ouest et proposer un rapport à l’extérieur le plus simple et ample possible tout en se préservant des vis-à-vis.
Quelques idées majeures de ce projet ossature bois: volumes simples, toitures terrasses et, en corrélation avec les exigences de performances thermiques, de généreuses ouvertures Sud et Ouest, protégées par des brise soleil et des treilles donnant sur des terrasses puis vers le jardin.
Avec comme objectif un excellent confort thermique, toutes les parties habitées seront isolées par l’extérieur.
Le chauffage, le rafraichissement et la production d’eau chaude sanitaire de l’ensemble seront assurés par une installation de type géothermie, par pompe à chaleur eau-eau.
Monolithe dans un lotissement.
Petite maison, façade Nord sur rue quasiment opaque, à l’inverse quasi totalement ouverte au Sud sur le jardin.
Ossature bois et bardage en plaques d’aluminium AlucoBond lisse, calepiné.
Les implantation, orientation, importante isolation thermique en laine de bois associées à des menuiseries performantes permettent de labeliser la construction au niveau BBC.
L’utilisation d’une teinte unique pour les bardages, toitures et menuiseries permet de lire la maison comme un volume unique, une entité.
Projet contemporain régie selon deux critères dominants : profiter de l’ensoleillement sur toutes les orientations et de la vue au Sud.
La maison est édifiée en limites dans la plupart de ses volumes afin de créer une articulation entre les volumes pleins et les volumes vides. La parcelle est laissée libre au Sud avec une vue surplombant l’Isère et une vue lointaine sur le Vercors.
Des terrasses / patio inclues dans le volume général s’intègrent à l’Est et à l’Ouest en continuité des espaces de jour, en surplomb du jardin. Les transparences sont travaillées selon les axes Nord / Sud et Est/Ouest.
La façade Sud forme un cadre sur le paysage et affirme l’aspect contemporain de la maison.
Depuis une petite rue d’un quartier résidentiel de Valence, sur une parcelle d’environ 1 000m² orientée vers le Sud et bordée par un des canaux du quartier, on emprunte un passage privé jusqu’au portail coulissant. Les véhicules se garent dans le garage ou sous l’abri, un parcours protégé nous mène aux deux entrées des logements en façade Nord. Entités distinctes par niveau, ils sont occupés par les membres d’une même famille.
Le parti pris esthétique est basé sur la couleur blanche, neutre mais élégante. Suivant ce fil conducteur, le jeu de composition est porté sur les matériaux de façade : sur l’ossature de béton, un bardage de type Trespa laqué habille le premier niveau, les panneaux étant de taille hétérogène et en ordre aléatoire, le RdC est recouvert d’une isolation recouverte d’un enduit gratté fin alors que la structure acier du garage et d’une partie de l’abri voitures supportera des bacs aciers laqués.
Avec comme objectif un excellent confort thermique, toutes les parties habitées sont isolées par l’extérieur et le système de chauffage géothermique, fonctionnant sur la nappe phréatique, assure également la production d’Eau chaude sanitaire.
Cette maison de la fin des années soixante bénéficie d’une exposition Sud et offre à ses propriétaires un panorama à 180° totalement privilégié sur le Rhône et le paysage du Vercors.
Refonte de la façade principale Sud pour l’ouvrir plus largement sur le paysage et réhabilitation lourde par la réorganisation des espaces intérieurs de vie.
Cette petite maison des années 1920 offrait un volume atypique, avec un corps central sur deux niveaux flanqué de 2 ailes pentues.
La volumétrie de la maison est adaptée à la vie d’une famille de 4 personnes, par l’ajout d’une extension côté jardin et d’une surélevation au-dessus du garage. Ces deux boites habillées de bac acier bleu marine inscrivent la maison dans une architecture plus contemporaine, en lui offrant des espaces ouverts en éventail sur la terrasse et le jardin.
Les pièces du rez-de-chaussée sont décloisonnées pour créer un grand séjour en L, pièce à vivre où peuvent se juxtaposer différents usages : espace bureau, salon, coin tv, repas, salle de jeux …
A l’étage, les chambres sont conservées en l’état et réaménagées pour les enfants, tandis qu’une petite suite parentale s’installe dans la surélévation.
Des maisons ouvrières de l’après-guerre en bande, à la typologie identique, s’organisant autour d’un cheminement et d’une place centrale circulaire, rappelant quant à elle les tentatives d’urbanisme communautaire de la fin des années 1960…
Cette maison se distingue par sa position en « haut de falaise » de cette troisième terrasse valentinoise. Elle offre ainsi une vue surplombante et imprenable sur la ville et les collines de Crussol à l’horizon.
Cette maison « bi-face » réclamait une relation visuelle de cet horizon avec les nouveaux espaces de vie se définissant à l’étage de l’habitation : large terrasse panoramique via de grandes surfaces vitrées.
Le Rez de Chaussée en lien avec le jardin abrite les espaces nocturnes.
Sur une parcelle très contrainte, entourée de montagnes magnifiques, le projet est conçu pour cadrer le paysage et s’ouvrir sur les différentes vues.
Les transparences et jeux de double hauteur agrandissent le volume réduit de cette maison.
Construite dans une démarche passive, édifiée en ossature bois et isolée totalement en fibre naturelle, elle n’est chauffée que par un poêle à bois et la production d’eau chaude est totalement autonome.
📸 Crédits photos : Aurélie LAMOUR
L’aménagement de cette ancienne bâtisse agricole en forme de longère opère un travail sur la façade Sud qui s’ouvre sur le paysage. La structure très massive et visible de la maison accentue l’effet des percements.
Le projet se situe à quelques encablures à l’Ouest du centre du Village de Montoison dans la Drôme.
La parcelle de 15 000m² est occupée à 95% par une zone agricole.
L’ensemble de la propriété se constitue d’une demi-douzaine de corps bâtis édifiés à différentes périodes depuis le début du 19ème siècle. L’ancien corps de ferme habité s’est développé en forme de U et se prolonge à son extrémité Sud par une longère.
Le projet de réhabilitation se veut respectueux du patrimoine et de l’architecture locale. Le caractère contemporain de cette transformation, pour des raisons d’apport en lumière naturelle, sera discrètement visible, laissant les matériaux naturels, simples, où le brut prédomine.
Les nouveaux percements préservent les dimensions des existants et sont positionnés volontairement à des hauteurs différentes comme pour préserver le rythme « chaloupé » initial…
Cette maison de la fin des années soixante bénéficie d’une exposition Sud et offre à ses propriétaires un panorama à 180° totalement privilégié sur le Rhône et le paysage du Vercors.
Refonte de la façade principale Sud pour l’ouvrir plus largement sur le paysage et réhabilitation lourde par la réorganisation des espaces intérieurs de vie.
Sur une parcelle très contrainte, entourée de montagnes magnifiques, le projet est conçu pour cadrer le paysage et s’ouvrir sur les différentes vues.
Les transparences et jeux de double hauteur agrandissent le volume réduit de cette maison.
Construite dans une démarche passive, édifiée en ossature bois et isolée totalement en fibre naturelle, elle n’est chauffée que par un poêle à bois et la production d’eau chaude est totalement autonome.
📸 Crédits photos : Aurélie LAMOUR
Construite selon un système « tout bois » avec ossature et isolation en laine, la maison vise une empreinte écologique et des coûts d’usage très faibles. Cette technique, associée à de larges ouvertures permettant de bons apports solaires, positionne la maison dans la catégorie « bio-climatique ».
Le projet résulte d’une volonté d’intégration dans le paysage, d’une envie de se mêler à la nature environnante.
Le terrain est ainsi laissé naturel, la maison se faufile: les arbres sont conservés au maximum et l’implantation de la maison est pensée pour créer un véritable dialogue entre le végétal et le bâti.
Projet contemporain régie selon deux critères dominants : profiter de l’ensoleillement sur toutes les orientations et de la vue au Sud.
La maison est édifiée en limites dans la plupart de ses volumes afin de créer une articulation entre les volumes pleins et les volumes vides. La parcelle est laissée libre au Sud avec une vue surplombant l’Isère et une vue lointaine sur le Vercors.
Des terrasses / patio inclues dans le volume général s’intègrent à l’Est et à l’Ouest en continuité des espaces de jour, en surplomb du jardin. Les transparences sont travaillées selon les axes Nord / Sud et Est/Ouest.
La façade Sud forme un cadre sur le paysage et affirme l’aspect contemporain de la maison.
Localisation : Bourg Lès Valence
Maîtrise d’ouvrage : privé
Début : 2010
Durée : Mission complète, 14 mois
Coût : 170 000 € TTC.
Surface : 155m² à réhabiliter
Une maison de ville le long d’un boulevard du centre ville du bourg, implantée sur une parcelle longiligne et étroite, orientée Sud Ouest- Nord Ouest
La maison se distribue sur trois niveaux dont un niveau en Rez de Chaussée aveugle, très haut de plafond servant d’atelier et de garages, un premier étage servant d’habitation principale prolongée d’une terrasse et d’un deuxième étage alloué aux chambres.
Les enjeux principaux du projet étaient d’une part de rompre le franchissement vertical existant nécessaire pour accéder au premier depuis le garage. Et d’autre part de faire acheminer la lumière naturelle au centre du bâti notamment pour les pièces de vie.
La solution passait invariablement par le percement de la toiture via des fenêtres de toit, des dalles intérieures vitrées sur le plancher du 2ème étage, de larges ouvertures sur la terrasse et d’un décloisonnement généreux des espaces existants.
L’aménagement d’ensemble au premier étage recevant les espaces de jours devaient tenir compte dans la définition et la localisation des espaces de la contrainte filiforme du bâti, contrainte qui imposait dès lors une logique d’implantation fonctionnelle des espaces au regard de la notion d’intimité (au moins intime depuis la rue vers le plus intime côté terrasse).
Le projet conserve la partie atelier et garage au Rez de Chaussée.
La refonte du franchissement vertical a induit la création d’un hall intermédiaire et le déplacement de la porte d’entrée principale qui a été intégrée à la porte de garage
La porte principale originelle a été conservé en « fake » et maquillée.
A l’étage, l’aspect filiforme de la parcelle est révélé par l’enchainement des pièces décloisonnées en la grande perméabilité visuelle entre celle-ci.
L’escalier béton placé au premier tiers du bâti comme à l’existant permet de distribuer le hall central accueillant les espaces techniques et sanitaires. Depuis le hall se distribuent les espaces suivants :
– Côte rue, un généreux espace multimédia pouvant s’ouvrir largement sur les pièces de vie via le hall en permettant les vue traversantes sur toute la longueur de l’habitation.
– Coté terrasse, le salon-séjour en lien direct avec le hall, puis la cuisine s’ouvrant sur la terrasse par un ensemble vitré sur la largeur complète de l’édifice.
A l’étage l’escalier métallique prolongeant l’escalier métallique distribuant le premier étage dessert un hall ou l’on trouve une salle de bains attribuée à deux chambres localisées côté rue. Côte terrasse, vient se loger une chambre parentale accompagnée de sa Salle de bains et dressing privatif.
Une vieille maisonnette d’habitation et une grange traditionnelle du début du 19ème siècle sur une petite parcelle se tournant vers le massif de la Chartreuse. Les deux entités construites sont séparées par un petit jardinet.
Travailler le trait d’union entre les deux entités construites sur deux niveaux : les pièces de vie en bas s’organisent de façon panoramique et parallèlement au jardinet.
Au premier étage, la toiture comme espace de vie extérieur.
Superposition « libre » qui permet de retrouver la vue sur le Massif de la Chartreuse, de recouvrer l’espace de contemplation perdu au gré de la densification urbaine.
Ultérieurement et suivant l’évolution du cadre de vie de ses occupants une potentielle extension aux futurs aménagements.
Des maisons ouvrières de l’après-guerre en bande, à la typologie identique, s’organisant autour d’un cheminement et d’une place centrale circulaire, rappelant quant à elle les tentatives d’urbanisme communautaire de la fin des années 1960…
Cette maison se distingue par sa position en « haut de falaise » de cette troisième terrasse valentinoise. Elle offre ainsi une vue surplombante et imprenable sur la ville et les collines de Crussol à l’horizon.
Cette maison « bi-face » réclamait une relation visuelle de cet horizon avec les nouveaux espaces de vie se définissant à l’étage de l’habitation : large terrasse panoramique via de grandes surfaces vitrées.
Le Rez de Chaussée en lien avec le jardin abrite les espaces nocturnes.
Aménagement d’une terrasse sur le toit vers l’Ouest et le Rhône. Décloisonnement complet du premier niveau de ce triplex urbain.
Parcelle de lotissement assez vaste : libérer le plus d’espace de jardin au Sud et à l’Ouest et proposer un rapport à l’extérieur le plus simple et ample possible tout en se préservant des vis-à-vis.
Quelques idées majeures de ce projet ossature bois: volumes simples, toitures terrasses et, en corrélation avec les exigences de performances thermiques, de généreuses ouvertures Sud et Ouest, protégées par des brise soleil et des treilles donnant sur des terrasses puis vers le jardin.
Avec comme objectif un excellent confort thermique, toutes les parties habitées seront isolées par l’extérieur.
Le chauffage, le rafraichissement et la production d’eau chaude sanitaire de l’ensemble seront assurés par une installation de type géothermie, par pompe à chaleur eau-eau.
Un portail discret au fond d’une ruelle, des grands feuillus pointent au loin derrière les murs d’un vaste parc.
On découvre la vaste maison d’habitation en suivant les lignes d’un chemin sinueux encerclant la propriété.
La base de cette réhabilitation est une maison des années 1960 esthétiquement inscrite dans l’architecture du mouvement moderne et du style international.
Structure horizontale et verticale en béton coffré, large balcon filant en porte à faux, toiture terrasse, éléments de structure exacerbés structurant plusieurs niveaux et composant les façades, fenêtres en bandes…
La réhabilitation et le réaménagement d’ensemble sur deux niveaux totalisant 300m² comprend l’adjonction d’un garage couvert pouvant accueillir 4 véhicules, la création d’une cave hors sol en partie nord de l’habitation, la réa lisation d’une piscine et de son pool house de 70m² environ intégrant cuisine d’extérieure, espace douche, remises et chambre d’appoint.
Au Rez de Chaussée, depuis le grand hall qui distribue aussi l’étage, le large dégagement dégage la perspective sur un vaste espace séjour-salon de 70m² environ à la fois ouvert visuellement sur la piscine à l’est et sur les bois du parc au Sud. La cuisine accompagnée de son cellier à la proximité de l’entrée peut s’ouvrir sur l’espace de jour ou se dissimuler à volonté derrière une large porte coulissante.
Une bande technique à proximité de l’entrée derrière l’escalier de desserte à l’étage comprend une grande buanderie accueillant l’unité de production de chaleur, le ballon de production d’eau chaude, adoucisseur d’eau, machine à laver, sèche linge, etc.
Cette bande technique se prolonge par un espace bureau en arrière plan de l’espace salon.
Le jardin via la terrasse est accessible via de nombreux accès se répartissant sur la cuisine, le séjour, le salon.
A l’étage, trois grandes chambres sont toutes les trois accompagnées de leur dressing et de leur salle de bains.
La chambre parentale bénéficie en plus d’une terrasse que nous avons clos par de grands châssis vitrés aluminium pour transformer l’ensemble en salle de remise en forme et Spa. La Salle de bains accessible directement depuis la chambre s’ouvre directement sur la zone du spa. Le sol extérieur béton de la terrasse a été repris dans sa totalité et complété par une complexe d’étanchéité finalisé par un revêtement de sol bois pouvant être solliciter par de forte contrainte hygrométrique.
La piscine chauffée de 5x12m en prolongement du séjour et salon, à une dizaine de mètres sur la face Est est accompagnée d’un pool House la longeant sur son plus grand côté et largement ouvert sur celle-ci via un grand espace d’accueil comprenant un cuisine.
La cuisine au centre de l’édifice est prolongée sur ses ailes par un espace sanitaire (côté habitation) et par une chambre et une remise sur l’aile opposée.
Le graphisme de l’ensemble s’est voulu simple et épuré en souligné simplement les lignes fortes du projet.
Ainsi le traitement des éléments porteurs et maçonnés se sont voulus homogènes sur l’ensemble des trois entités (habitation, Pool house et Car park). Ainsi les enduits de façades apposés contre le système d’isolation par l’extérieur sont blancs. Toutes les menuiseries extérieures, appuis filants, couvertines, structure métallique, murs à claire voies et bandeau du Car Park en tôles d’aluminium prélaquées à la teinte gris anthracite.
Nous sommes dans un quartier vert de Valence jonché de Châteaux…
Une vieille chaumière et son petit jardin en front de rue et un ancien garage à voiture en cœur d’îlot.
Mise en commun et réhabilitation pour créer un vaste loft bordé d’un jardin, en travaillant « en creux », par déduction de matière plutôt que par ajout.
Besoin de faire rentrer la lumière dans un espace où seule une large verrière illuminait l’espace de mécanique.
Deux chambres, pensées comme des cabanes accrochées sous le toit, interagissent avec le reste du volume principal par des percements et des galeries qui offrent aux occupants une vue sur l’intérieur et l’extérieur du projet.
Mise en valeur la charpente existante.
La zone cuisine sous la boîte, espace plus intime et de services en partie Nord.
Un espace de bureau de 25m² comme tampon entre réception et zones privatives, un séjour de 70m² entièrement dégagé ouvert sur la cuisine, avec un accès direct sur le jardin. Doubles hauteurs et la verrière est conservée afin d’obtenir un éclairage optimal de la pièce de vie principale.
Cette petite maison des années 1920 offrait un volume atypique, avec un corps central sur deux niveaux flanqué de 2 ailes pentues.
La volumétrie de la maison est adaptée à la vie d’une famille de 4 personnes, par l’ajout d’une extension côté jardin et d’une surélevation au-dessus du garage. Ces deux boites habillées de bac acier bleu marine inscrivent la maison dans une architecture plus contemporaine, en lui offrant des espaces ouverts en éventail sur la terrasse et le jardin.
Les pièces du rez-de-chaussée sont décloisonnées pour créer un grand séjour en L, pièce à vivre où peuvent se juxtaposer différents usages : espace bureau, salon, coin tv, repas, salle de jeux …
A l’étage, les chambres sont conservées en l’état et réaménagées pour les enfants, tandis qu’une petite suite parentale s’installe dans la surélévation.
Bâtisse ancienne pourvue de diverses extensions plus récentes.
Le projet de transformation d’une partie de l’existant et d’extension abritant un espace repas, la nouvelle cuisine et la transformation complète de la grange existante en bureau et chambre d’amis.
Nouvelle aire de stationnement extérieure, carpark réalisé en acier et accolé, un garage clos permet de ranger motos, vélos et outils.
L’extension Sud vient créer un patio, sa couverture devient un solarium accessible depuis la suite principale.
Assurant l’abri et la protection solaire, l’ensemble casquette et brises soleil est réalisé en tôles d’aluminium laqué sur ossature acier, les enduits des murs périphériques de l’extension et de la remise ainsi que la nouvelle couverture réalisée en bac acier seront tous d’une teinte unique : un vrai rouge, le RAL 3020. Lien visuel, cette monochromie permet une lecture simple des volumes et donne de l’ampleur à l’extension tout permettant d’équilibrer le rapport avec le bâti existant.
Une maison du début du siècle à l`esthétique simple, pertinemment nichée en fond de parcelle abritait il y a encore quelques temps quelques curés de la paroisse de Romans.
Son système porteur en plan libre, permettant de bénéficier librement de la dalle du Rez de chaussée et du plancher de l`étage, permet en outre de bénéficier d’une hauteur sous plafond hors norme.
Une lourde réhabilitation fut nécessaire: démolition des cloisonnements intérieurs, isolation par l`extérieur, nouveaux systèmes de fluides. L’existant, largement ouvert sur sa façade sud-ouest et en toiture, abritera les parties nuit et privatives. Le parti pris veut que plus l`on pénètre dans la maison, plus les espaces deviennent intimes.
L`extension, contrastant par ses lignes et ses volumes, accueille la vie diurne, radicalement en relation avec les extérieurs.
Depuis la rue, une esthétique sur plusieurs plans propose des structures plates en toiture se lançant vers le sud en protégeant du soleil estival, avec pour toile de fond, l`ancien bâti.
Les accès se distinguent vers une partie « fonctionnelle » – accès véhicules à l’Ouest donnant sur le stationnement extérieur et une partie piétonne au centre de la façade sur rue par une ouverture en sifflet.
Monolithe dans un lotissement.
Petite maison, façade Nord sur rue quasiment opaque, à l’inverse quasi totalement ouverte au Sud sur le jardin.
Ossature bois et bardage en plaques d’aluminium AlucoBond lisse, calepiné.
Les implantation, orientation, importante isolation thermique en laine de bois associées à des menuiseries performantes permettent de labeliser la construction au niveau BBC.
L’utilisation d’une teinte unique pour les bardages, toitures et menuiseries permet de lire la maison comme un volume unique, une entité.
L’aménagement extérieur, serpentin rouge de murs qui redéfinit un jardin. La terrasse Ouest existante prolongée par un jardin surélevé, qui prolonge la terrasse en bois, développant l’espace de la maison.
L’entrée principale est largement ouverte de part et d’autre sur le salon et la salle à manger.
Face à la gare de Valence, au dernier étage, vers le ciel, ce grand appartement encercle la cage d’escalier de cet immeuble en pierres de tailles du milieu du 19e.
Les volumes charpentés dégagés, les verrières posées, ce grenier devient une piste aux étoiles, ou plutôt la tanière d’une famille Ours, tendance à hiberner ….
Petite intervention révélatrice : redonner à la maison son incroyable vue sur le Vercors.
Depuis le séjour en réunissant deux fenêtres et en cadrant la vue, et démolir cet édicule d’entrée, ouvrir une baie pour avoir une agréable terrasse de plain-pied avec la cuisine.
Depuis une rue piétonne du centre ancien, cet appartement en rez-de-chaussée, avec cour intérieure, est articulé sur deux niveaux.
Au rez-de-chaussée, un appartement surplombe une cave de même dimension avec un accès par l’extérieur. L’objectif majeur : relier la cave voûtée au rez-de-chaussée pour gagner en surface habitable.
Le projet coloré, audacieux par son programme, imbrique des volumes qui se répondent et se correspondent. L`espace est élargi par des parcours et retours, des entrées cachées et des lumières dissimulées.
WASABI : RÉHABILITATION D’UN ANCIEN GARAGE à ANDANCE (07).
Dans cet ancien garage Renault transformé en maison individuelle, la volumétrie existante est mise à profit pour créer un espace longitudinal qui se dévoile à mesure que l’on progresse vers le pignon vitré de la façade Sud.
L’inspiration japonaise préside à l’aménagement réalisé entièrement en structure bois : au Nord, l’entrée de la maison est protégée par des claustras dessinant un petit patio accueillant les visiteurs.
Après avoir laissé ses chaussures dans l’entrée, on monte une marche pour prendre le couloir qui longe un jardin japonais et accéder au séjour en double hauteur surplombé par une boîte en bois abritant deux chambres. Au sol, le dallage en béton est calepiné aux proportions des tatamis ; derrière les portes coulissantes ou dérobées, les espaces privés de la maison se dissimulent aux regards.
L’espace intérieur est prolongé par des terrasses en léger surplomb des jardins. Le brise soleil de la façade Sud reprend le thème du claustra pour dispenser de l’ombre sans nuire à la contemplation du paysage.
Le projet résulte d’une volonté esthétique résolument contemporaine (issue du mouvement moderne et des courants cubistes) et d’un cadre d’implantation contraint.
S’étirant d’Est en Ouest en allant chercher les limites séparatives, le projet offre à la fois un dégagement maximal sur le jardin comme une « protection » des vues depuis les espaces publics et les parcelles voisines.
Dans cette optique et pour créer un jeu de transparences et « agrandir visuellement » l’espace, la maison s’organise en deux bandes parallèles, séparées par deux patios qui sont autant de « respirations » face à cette densité.
En partant d’une simple et minuscule maisonnette de ce quartier résidentiel, la volumétrie très simple du nouveau bâtiment, inspirée d’une urbanité japonaise, son style contemporain et ses matériaux de couverture et de façades confèrent à l’ensemble une émergence dans le paysage, il se distingue en proposant un nouveau langage.
Le fait de n’avoir aucune structure mitoyenne renforce l’aspect singulier du projet, en accompagnant cependant la maison voisine à l’Est, datant des années 1960 – 70, qui propose un environnement déjà marqué par le mouvement moderne.
L’impact esthétique se veut résolument contemporain : que ce soit en termes de volume, de matériaux et d’ouvertures ou de relation à l’extérieur, le projet redéfinit les lignes désuètes existantes. En proposant une forme simple et des matières « brutes » complémentaires, il participe au renouveau de l’image de la rue et du quartier.
Réhabilitation d’une ferme en pisé, en pleine campagne.
Le projet s’articule autour d’un axe fédérateur et accueille l’atelier de Madame, peintre et des hôtes, parfois, dans une chambre avec vue filmographique sur le Vercors.
Pièce supplémentaire qui s’ouvre par une baie vitrée en angle, le patio oriente vers le couchant et la piscine puis l’autre magnifique vue vers les monts d’Ardèche.
La limite du rapport à l’extérieur devient expressément floue…
Depuis une petite rue d’un quartier résidentiel de Valence, sur une parcelle d’environ 1 000m² orientée vers le Sud et bordée par un des canaux du quartier, on emprunte un passage privé jusqu’au portail coulissant. Les véhicules se garent dans le garage ou sous l’abri, un parcours protégé nous mène aux deux entrées des logements en façade Nord. Entités distinctes par niveau, ils sont occupés par les membres d’une même famille.
Le parti pris esthétique est basé sur la couleur blanche, neutre mais élégante. Suivant ce fil conducteur, le jeu de composition est porté sur les matériaux de façade : sur l’ossature de béton, un bardage de type Trespa laqué habille le premier niveau, les panneaux étant de taille hétérogène et en ordre aléatoire, le RdC est recouvert d’une isolation recouverte d’un enduit gratté fin alors que la structure acier du garage et d’une partie de l’abri voitures supportera des bacs aciers laqués.
Avec comme objectif un excellent confort thermique, toutes les parties habitées sont isolées par l’extérieur et le système de chauffage géothermique, fonctionnant sur la nappe phréatique, assure également la production d’Eau chaude sanitaire.
Le projet se situe sur la commune de La Baume d’Hostun
Partie d’un vaste ensemble agricole, le projet se concentre sur une ancienne maison et laisse ses dépendances dans leur état actuel.
La volumétrie compacte de l’ensemble est conservée.
Les contraintes d’orientation entrainent un travail sur la gestion des apports lumineux.
Une petite extension au vocabulaire contemporain, servant de sas d’entrée, est construite en prolongement des espaces construits.
Le projet se situe dans le centre du village de Génissieux.
Le terrain, ancienne piste de manège équestre, a révélé une composition de minerais très hétéroclites. Aussi il a été décidé de bâtir la maison sur un système de fondation en radier de béton.
La maison est construite selon un système ossature bois portant sur le périmètre du radier et clos de toitures végétalisées, bénéficiant d’une isolation en laine de bois et d’un poêle à bois performant, qui permet une empreinte écologique et des coûts d’usage très faibles.
Cette technique, associée à de larges ouvertures permettant de bons apports solaires, positionne la maison dans la catégorie « bio-climatique », au-delà des attentes de la RT 2015.
Une maison traditionnelle des années 1990, un environnement et une vue magnifique ont orienté le projet vers une ouverture complète des espaces de jour sur le paysage. Prolongées par des casquettes, les façades vitrées abolissent la frontière entre l’intérieur et l’extérieur.
Le nouveau volume de séjour et la rénovation esthétique de l’ensemble de la maison permettent une transformation globale.