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CONCOURS D’IDÉE POUR UNE ENTRÉE DE VILLE PAR LA RHÔNE
Occasion de recréer un nouveau lien avec le Rhône, élément naturel prépondérant de son histoire mais désormais totalement « oublié », mis à distance par les voies de circulation automobiles.
Cette halte permet d’animer la cité par un moyen de déplacement complémentaire et exotique à ce réseau routier sur-densifié.
Découvrez en images le savoir-faire de notre équipe et les choix qui rendent ce projet si singulier.
Transformation d’un ancien restaurant pour accueillir Amici, concept joyeux de vinyles et pizzas napolitaines.
Aménagement réalisé avec notre comparse Lewis Faucon.
Extension pour le cabinet d’une psychiatre
L’ensemble bâti est une ancienne ferme, présentant une grande façade Ouest surplombant la vue sur le paysage lointain.
Le projet consiste en la réhabilitation d’une dépendance située au Sud de la maison en un espace de travail très ouvert sur le jardin et deux espaces
bureaux. Une continuité intérieur-extérieur réinvente le lien vers le paysage, remodelé.
Esthétiquement, le projet respecte la volumétrie et les matériaux de l’existant en laissant visible l’enveloppe bâtie initiale sous laquelle le projet s’insère, en ayant recours à un langage plus contemporain.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses différents pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Cet ensemble de bureaux, bâtiment aux panneaux de façades préfabriqués datant des années 80 a été totalement repris pour accueillir à la fois un lieu de travail – bureaux, salle de réunion – des salles d’entretien ouvertes au public et un espace dédié aux jeunes.
Un travail de remise en valeur des façades, des sols a été réalisé, certains luminaires mis aux normes, l’enveloppe réisolée et le tout équipé de systèmes de ventilation et chauffage très performants (double flux et PAC eau/eau) …
CONCOURS D’IDÉE POUR UNE ENTRÉE DE VILLE PAR LA RHÔNE
Occasion de recréer un nouveau lien avec le Rhône, élément naturel prépondérant de son histoire mais désormais totalement « oublié », mis à distance par les voies de circulation automobiles.
Cette halte permet d’animer la cité par un moyen de déplacement complémentaire et exotique à ce réseau routier sur-densifié.
Inspirés par leurs voyages et voyageurs inspirés, les maîtres d’Ouvrage, à la manière d’un dinner californien ou d’un bar à sushis japonais, ont souhaité un espace qui se veut global mais réparti en sous espaces, contemporain et fonctionnel à la fois.
Les couleurs résonnent avec les toiles de Cazaumayou.
Les formes des plafonds obliques intimisent et renvoient aux verres à pied.
Construction d’un bâtiment aéronautique comprenant un ensemble composé d’un hangar et ateliers pour avions et son logement de gardien.
Relié par taxiway aux pistes d’envol, le terrain fait partie de l’emprise de l’aérodrome de GAP.
Le bâtiment a été dessiné en partant d’un volume simple – construit sur un seul niveau en rez-de-chaussée avec une toiture à deux pans – L’accès des aéronefs se fait depuis le Sud par une large porte coulissante qui s’efface à 85%, permettant la circulation des engins et offrant une source de lumière naturelle. Le logement de gardien à l’Ouest se veut discret, inséré au volume global.
Implantée dans un ancien entrepôt d’un ensemble industriel en ville, suite à une recomposition et découpages, dans une zone d’activité longeant la nationale traversant Bourg les Valence.
Les respirations entre certains corps bâtis servent à l’implantation de voirie transversale ou d’aires de stationnement.
Certains bâtiments ont été conservés pour des activités industrielles, d’autres recoupés et revendus à titre de bureaux ou d’ateliers pour des entreprises du bâtiment, d’autres pour d’activités de services à des fins ludiques…
Architecture industrielle de la période d’après-guerre : structure périphérique en béton, dalles béton pleines ou sur hourdis briques, charpente industrielle métallique en w, structure intermédiaire assuré par des poteaux métalliques, toiture à deux pans en plaques de fibrociment, bouche d’extraction d’air en toiture, pont -roulant, monte-charges, trémies interne avec monte-charge, réseau de sprinklage… revisitées pour accueillir plastrons et pistolets laser…
Dans un champ de poteaux métalliques voisin, installation d’un “Urban -accro”.
Aujourd’hui un bowling et un restaurant ont complété le complexe.
Reconversion d’une librairie en jardinerie urbaine
Façade revue, Aménagement intérieur et mission d’accompagnement pour le mobilier.
Resto familial intergénérationnel où la remise en espace de la cuisine alambiquée sert de prétexte à une ouverture sur le jardin, sous la tonnelle, et un relooking général.
Du syrah sur faïence, du grenache sur céramique.
Zone artisanale de Malissard, à quelques encablures de Valence.
L’entreprise CHAPON est une société familiale aux cent ans d’expérience dans les domaines des travaux l’adduction d’eau potable, de raccordement d’eaux usées, de drainage, de réalisation de réservoirs et bassin de stockage.
Dans une partie de hangars en zone d’activités, proche de l’autoroute et de la sortie de ville.
Les locaux sont aménagés pour accueillir des espaces de bureaux et réunions, vestiaires, une grande halle accueillera une zone de stationnement couverte dédiée aux ambulances et VSL.
Base colorimétrique axée selon les teintes du logo du groupe Jussieu.
La société Markem Imaje, est l’un des leaders mondiaux de l’impression numérique tout support. Le siège social, son plus grand centre de recherche et développement et sa première usine dans le monde est basée à Bourg Lès Valence.
Sur un site d’environ 2,5 hectares deux complexes regroupent plusieurs pôles d’activités dont le pôle administratif, qui regroupe plusieurs services sur une surface d’environ 1200m².
Les différentes unités sont distribuées via deux typologies constructives très distinctes et physiquement séparées.
La première et principale unité se base sur la typologie traditionnelle de la « boite à chaussure ».
La deuxième plus « énigmatique » que l’on a nommé le « Spoutnik » à l’aspect brutal, à la structure métallique massive qui donne l’image d’un vaisseau explorateur dont la « tête » fait émerger la présence de la société au regard de l’espace public, comme un repère signifiant.
La mission qui nous avait été confiée était de réaliser une étude de réaménagement intérieur de l’ensemble des pôles d’activités, des accès et zones de stationnements, la réalisation d’un show-room et d’un espace de détente. Plus particulièrement, les travaux d’amélioration thermique de l’ensemble des façades devaient être l’occasion précise de redéfinir l’image de la société et la perception visuelle vieillissante de ces bâtiments au regard de son savoir-faire technique spécifique.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses deux pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Cette maison des années 30, rénovée totalement, accueille à la fois un lieu de travail – bureaux, salle de réunion – et un habitat pour 6 jeunes.
Un travail de redécouverte et de mise en valeur de la maison a été réalisé, tant au niveau des façades en retrouvant la modénature originale que pour certains carreaux ciments cachés sous un vieux sol collé …
Réhabilitation et extension d’un pôle médical au Sud de valence.
Refonte intérieure avec création notamment d’un gymnase et relooking complet du bâtiment d’origine : menuiserie, isolation sous bardage, systèmes techniques.
Cet appartement, organisé selon un plan d’après guerre, ne convenait ni aux besoins ni à la sensibilité de sa nouvelle propriétaire : dégagements inutiles, espaces sombres et rigides, impression d’exigu de l’ensemble…
Ses atouts : son emplacement central et son orientation et surtout son système structurel proposant un plan quasiment libre. Lumières, textures, végétal… navigation… sur une élégante goélette.
Un plan aux formes anguleuses, mais des espaces souples et une circulation fluide.
L’ensemble s’organise, se modélise autour du volume central et des vitrages: tel un lourd récif frappé d’embruns, il oriente en définissant les parcours, il rassure en délimitant les zones privées et publiques, il séduit en proposant des perspectives singulières.
Tout au long des navigations, les différentes teintes, formes et matières, donnent aux multiples panoramas l’impression de se détacher et de s’imbriquer à la fois. Les feux de route renforcent les caps…
La salle d’attente, ancienne cuisine, forme avec le lieu des séances, le mess, et l’entrée, passerelle, un premier ensemble ; de l’autre coté du rocher, la salle de formation, salon, côtoie en un espace souple et spacieux le Restaurant et son pont ensoleillé.
De la construction existante, seuls les poteaux de structure, les deux mâts, et les gaines techniques ont donc été conservées. Le nouveau cloisonnement, les estrades, faux plafonds, huisseries et accastillage sont entièrement fabriqués et montés sur place : remplissage de panneaux de bois sur ossature en sapin traité, meubles sur mesure en chêne et médium. Les installations techniques sont composées d’éléments souples et encastrés soit dans les parquets de chêne existants, soit dans les nouveaux sols, recouverts d’enduit spécifique teinté dans la masse.
Cet aménagement, modulable donc évolutif, permet d’envisager une organisation du lieu différente et d’autres croisières: activité professionnelle (di)semblable, habitat…
L’histoire a déjà fait se rencontrer le bateau et le théâtre, lorsque les marins charpentiers lui donnaient le savoir dont sont issus la machinerie, leur vocabulaire et leurs superstitions… Quand l’un s’affronte au monde en sillonnant les mers, l’autre le représente lors d’un voyage immobile. De l’infini au monde clos, ce paradoxe suscite un aller-retour ou fil tendu liant la quête à l’imaginaire.
Ainsi, les univers maritimes et dramatiques sont indéniablement liés, mais pour que notre projet ne se résume pas à un « théâtre flottant » (comme sur les canaux de Venise pendant des siècles ou les péniches spectacle), il fallait que l’espace scénique proposé soit en corrélation avec les qualités propres d’un navire (le mouvement, le voyage, les rapports aux éléments…).
C’est en nous référant au théâtre grec, niché à flanc de colline face au paysage et au théâtre de Bussang dont le fond de scène révèle la forêt vosgienne, qu’il nous a semblé nécessaire d’ouvrir le navire au paysage. L’Ouragan, un bateau militaire, nous est apparu comme l’instrument idéal. Ce navire possède dans son fonctionnement la particularité de pouvoir couler d’environ quatre mètres, à l’aide de ballasts. Une porte s’ouvre à l’arrière sur la mer pour récupérer, dans l’espace du radier, de plus petits navires, puis remonte afin de les dépanner ou simplement de les transporter au sec.
« Le théâtre non comme lieu de représentation mais comme lieu de dialogues et de questionnements. Lieu de fabrication aussi car nous voulons mettre en avant la « machine » théâtre. Montrer des équipes au travail : comment elles fabriquent leur théâtre. ».
L’autonomie et l’isolement du travail en mer permettent de concentrer l’énergie et l’effervescence d’une troupe pour une durée préparatoire d’un spectacle qui, une fois arrivé à terme, se présente dans son lieu de création aux publics européens C’est pourquoi le projet de reconversion du navire comprend ainsi des ateliers s’ouvrant directement sur la scène, des cabines et lieux collectifs destinés à l’équipage, aux techniciens aux comédiens et à une quarantaine de stagiaires.
Si la machinerie des théâtres s’apparente à celle du bateau à voile, l’équipement scénique bu bateau théâtre détourne les technologies de l’Ouragan: les ponts roulants, éléments de structure ou de toiture, laissent désormais, place aux ponts mobiles pour l’éclairage et les décors, la toiture issue du même système se module sous forme de panneaux jusqu’à découvrir entièrement la salle. Le sol du radier, divisé en plates-formes montées sur vérins, s’articule pour former le ou les plateaux lorsque la mer pénètre le bateau, tandis que le gradin, berceau du public, avance et recule face à la porte pour délimiter l’espace de jeu.
Au ventre du navire fait écho le château abritant le café aux scènes multiples. Lieu de rencontre et d’évènements plus ponctuels (dans l’esprit du café Europa de Tadeus Kantor), il laisse deviner la trame de l’ancienne structure en transformant les espaces, comme un témoignage de la première vie du navire. On trouvera aux ponts inférieurs l’ensemble des cabines et la salle de répétition, pensés selon le même principe.
La scène parfois peut être à l’horizon, le regard peut encore plonger dans les ateliers ou sur l’arrière du bateau, ce sont autant de cheminements offerts dans un laboratoire englouti par l’univers marin, une dérive où les oscillations, les résonances métalliques seraient les spasmes d’un théâtre et d’un bateau destinés au même voyage.
Sa configuration lui permet également de procurer assistance à d’autres navires et de transporter du matériel lourd.
Caractéristiques :
L’Ouragan est un navire logistique de la Marine Nationale française conçu pour le « transport de chalands de débarquement » (TCD). De par sa mission, ce bâtiment présente une structure et des caractéristiques particulières.
Longueur : 149 m
Largeur : 21,50 m
Tirant d’eau : 5,80 m
Vitesse : 15 nœuds (650 km par jour)
Autonomie : 11 000 miles nautiques (soit trois traversées transatlantiques sans ravitailler)
Construction : Chantiers Navals de Brest
Mise en service : juin 1965
Sa particularité : un radier submersible de 120 m de long
L’Ouragan possède un radier (plage de stockage) de 120 m de long et de 13,50 m de large, pouvant contenir 1500 tonnes de matériel ou 250 véhicules, et qui dispose de plusieurs ponts roulants et plates-formes équipés de grues de chargement.
Pour le transport de bateaux, ce radier peut être immergé sous 3,50 m d’eau, à la manière d’un dock flottant, grâce à un système de ballasts (compartiments étanches permettant de contrôler le niveau de flottaison du navire).
Le navire dispose par ailleurs d’une plate-forme pouvant recevoir 18 hélicoptères, d’une capacité d’accueil de 300 hommes d’équipage et 500 hommes de troupe, et possède également un hôpital de 18 lits.
L’Ouragan sera désarmé en 2003-2004. Son sistership, l’Orage, achèvera sa carrière militaire en 2006-2007.
De par ses caractéristiques techniques hors du commun (volume offert par le radier, ouverture de la porte arrière et capacité d’immersion), l’Ouragan bouscule les frontières entre la terre, la mer et le ciel : créant ainsi un lieu à l’imaginaire très riche et déjà magique, il pourrait constituer un espace théâtral unique au monde
Le projet consiste à concevoir un foyer de stabilisation d’urgence dans les hauts de Valence, pour le compte de l’association Les Restos du Coeur.
Le parti pris est un compromis entre la recherche d’une compacité maximale – facteur de performances thermiques donc d’optimisation des frais de fonctionnement – et d’un réel confort d’usage en terme de qualité d’espaces internes mais surtout extérieurs et leur disposition à proposer des lieux communs conviviaux au même titre que les intérieurs.
Pour cette population dans l’urgence trop souvent « enfermés dehors », il nous est apparu primordial de pouvoir proposer des espaces extérieurs où elle se sent bien, dont elle puisse profiter plutôt que subir, où elle pourrait se rassembler. Un lieu au calme, paisible, protégé des nuisances.
Afin d’atteindre les performances thermiques souhaitées (sur la base du THPE visant un BBC) et dans l’optique de réduire les nuisances de chantier et le temps de mise en œuvre, la superstructure sera assurée par une ossature bois réalisée en panneaux porteurs préfabriqués assemblés en atelier.
La « proue » de l’aile Sud se démarquera visiblement de l’ensemble par un traitement de l’enveloppe différencié (maçonnerie isolée par l’extérieur avec finition enduite).
Reconversion d’une librairie en jardinerie urbaine
Façade revue, Aménagement intérieur et mission d’accompagnement pour le mobilier.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses deux pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Rénovation complète de l’ensemble bâti.
Le rez-de-chaussée accueille des bureaux entièrement réorganisés.
Les deux niveaux supérieurs répartissent trois grands logements.
Réhabilitation et extension d’un pôle médical au Sud de valence.
Refonte intérieure avec création notamment d’un gymnase et relooking complet du bâtiment d’origine : menuiserie, isolation sous bardage, systèmes techniques.
Dans une partie de hangars en zone d’activités, proche de l’autoroute et de la sortie de ville.
Les locaux sont aménagés pour accueillir des espaces de bureaux et réunions, vestiaires, une grande halle accueillera une zone de stationnement couverte dédiée aux ambulances et VSL.
Base colorimétrique axée selon les teintes du logo du groupe Jussieu.
Extension pour le cabinet d’une psychiatre
L’ensemble bâti est une ancienne ferme, présentant une grande façade Ouest surplombant la vue sur le paysage lointain.
Le projet consiste en la réhabilitation d’une dépendance située au Sud de la maison en un espace de travail très ouvert sur le jardin et deux espaces
bureaux. Une continuité intérieur-extérieur réinvente le lien vers le paysage, remodelé.
Esthétiquement, le projet respecte la volumétrie et les matériaux de l’existant en laissant visible l’enveloppe bâtie initiale sous laquelle le projet s’insère, en ayant recours à un langage plus contemporain.
Cet appartement, organisé selon un plan d’après guerre, ne convenait ni aux besoins ni à la sensibilité de sa nouvelle propriétaire : dégagements inutiles, espaces sombres et rigides, impression d’exigu de l’ensemble…
Ses atouts : son emplacement central et son orientation et surtout son système structurel proposant un plan quasiment libre. Lumières, textures, végétal… navigation… sur une élégante goélette.
Un plan aux formes anguleuses, mais des espaces souples et une circulation fluide.
L’ensemble s’organise, se modélise autour du volume central et des vitrages: tel un lourd récif frappé d’embruns, il oriente en définissant les parcours, il rassure en délimitant les zones privées et publiques, il séduit en proposant des perspectives singulières.
Tout au long des navigations, les différentes teintes, formes et matières, donnent aux multiples panoramas l’impression de se détacher et de s’imbriquer à la fois. Les feux de route renforcent les caps…
La salle d’attente, ancienne cuisine, forme avec le lieu des séances, le mess, et l’entrée, passerelle, un premier ensemble ; de l’autre coté du rocher, la salle de formation, salon, côtoie en un espace souple et spacieux le Restaurant et son pont ensoleillé.
De la construction existante, seuls les poteaux de structure, les deux mâts, et les gaines techniques ont donc été conservées. Le nouveau cloisonnement, les estrades, faux plafonds, huisseries et accastillage sont entièrement fabriqués et montés sur place : remplissage de panneaux de bois sur ossature en sapin traité, meubles sur mesure en chêne et médium. Les installations techniques sont composées d’éléments souples et encastrés soit dans les parquets de chêne existants, soit dans les nouveaux sols, recouverts d’enduit spécifique teinté dans la masse.
Cet aménagement, modulable donc évolutif, permet d’envisager une organisation du lieu différente et d’autres croisières: activité professionnelle (di)semblable, habitat…
Resto familial intergénérationnel où la remise en espace de la cuisine alambiquée sert de prétexte à une ouverture sur le jardin, sous la tonnelle, et un relooking général.
Du syrah sur faïence, du grenache sur céramique.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses deux pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Cette maison des années 30, rénovée totalement, accueille à la fois un lieu de travail – bureaux, salle de réunion – et un habitat pour 6 jeunes.
Un travail de redécouverte et de mise en valeur de la maison a été réalisé, tant au niveau des façades en retrouvant la modénature originale que pour certains carreaux ciments cachés sous un vieux sol collé …
Implantée dans un ancien entrepôt d’un ensemble industriel en ville, suite à une recomposition et découpages, dans une zone d’activité longeant la nationale traversant Bourg les Valence.
Les respirations entre certains corps bâtis servent à l’implantation de voirie transversale ou d’aires de stationnement.
Certains bâtiments ont été conservés pour des activités industrielles, d’autres recoupés et revendus à titre de bureaux ou d’ateliers pour des entreprises du bâtiment, d’autres pour d’activités de services à des fins ludiques…
Architecture industrielle de la période d’après-guerre : structure périphérique en béton, dalles béton pleines ou sur hourdis briques, charpente industrielle métallique en w, structure intermédiaire assuré par des poteaux métalliques, toiture à deux pans en plaques de fibrociment, bouche d’extraction d’air en toiture, pont -roulant, monte-charges, trémies interne avec monte-charge, réseau de sprinklage… revisitées pour accueillir plastrons et pistolets laser…
Dans un champ de poteaux métalliques voisin, installation d’un “Urban -accro”.
Aujourd’hui un bowling et un restaurant ont complété le complexe.
L’ensemble est composé d’une maison au Sud, d’une cour centrale fermée et d’un hangar au Nord.
Les locaux sont rénovés en totalité, la maison conserve son double usage de logement et de bureaux, le hangar accueillera des espaces de stationnement pour ambulances et VSL.
Entre ces deux unités, la cour centrale pour l’accès des véhicules depuis la voie publique. Base colorimétrique axée selon les teintes propres au groupe Jussieu et en rupture avec le reste des constructions permettant de mettre en valeur les volumes et les époques d’édification. Panneaux solaires sur le pan Sud de toiture dans une logique d’électrification de la flotte de véhicues.
L’ANEF association créée en 1952, œuvre pour la prévention et la réinsertion des personnes en difficulté et combat toutes formes d’exclusions. Plusieurs lieux d’accueil, d’écoute et d’orientation permettent d’intervenir auprès des jeunes mineurs, majeurs, adultes isolés, couples ou familles en difficultés sociales ou familiales. L’ANEF vallée du Rhône emploie 110 personnes sur ses différents pôles d’activité, le pôle adultes et insertion et le pôle enfance et parentalité.
Cet ensemble de bureaux, bâtiment aux panneaux de façades préfabriqués datant des années 80 a été totalement repris pour accueillir à la fois un lieu de travail – bureaux, salle de réunion – des salles d’entretien ouvertes au public et un espace dédié aux jeunes.
Un travail de remise en valeur des façades, des sols a été réalisé, certains luminaires mis aux normes, l’enveloppe réisolée et le tout équipé de systèmes de ventilation et chauffage très performants (double flux et PAC eau/eau) …
Etude urbaine et portuaire
> Lieu : Quais et entrepôts portuaires / « Espace des Marégraphes » / Port autonome de Rouen
> Maître d’ouvrage : Ville de Rouen et Port autonome de Rouen.
Une zone portuaire, dont les hangars du début du siècle, singuliers de part leur architecture, témoins d’une activité révolue, furent transformés, masqués, dévalorisés.
En se basant sur les données historiques concernant le site et un des hangars, ainsi que sur les caractéristiques techniques de ce dernier, la réflexion menée a porté sur le rôle patrimonial et la pérennité des différentes parties du bâtiment ainsi que ses potentialités d’évolution.
La société Markem Imaje, est l’un des leaders mondiaux de l’impression numérique tout support. Le siège social, son plus grand centre de recherche et développement et sa première usine dans le monde est basée à Bourg Lès Valence.
Sur un site d’environ 2,5 hectares deux complexes regroupent plusieurs pôles d’activités dont le pôle administratif, qui regroupe plusieurs services sur une surface d’environ 1200m².
Les différentes unités sont distribuées via deux typologies constructives très distinctes et physiquement séparées.
La première et principale unité se base sur la typologie traditionnelle de la « boite à chaussure ».
La deuxième plus « énigmatique » que l’on a nommé le « Spoutnik » à l’aspect brutal, à la structure métallique massive qui donne l’image d’un vaisseau explorateur dont la « tête » fait émerger la présence de la société au regard de l’espace public, comme un repère signifiant.
La mission qui nous avait été confiée était de réaliser une étude de réaménagement intérieur de l’ensemble des pôles d’activités, des accès et zones de stationnements, la réalisation d’un show-room et d’un espace de détente. Plus particulièrement, les travaux d’amélioration thermique de l’ensemble des façades devaient être l’occasion précise de redéfinir l’image de la société et la perception visuelle vieillissante de ces bâtiments au regard de son savoir-faire technique spécifique.
Zone artisanale de Malissard, à quelques encablures de Valence.
L’entreprise CHAPON est une société familiale aux cent ans d’expérience dans les domaines des travaux l’adduction d’eau potable, de raccordement d’eaux usées, de drainage, de réalisation de réservoirs et bassin de stockage.
Transformation d’un ancien restaurant pour accueillir Amici, concept joyeux de vinyles et pizzas napolitaines.
Aménagement réalisé avec notre comparse Lewis Faucon.
Construction d’un bâtiment aéronautique comprenant un ensemble composé d’un hangar et ateliers pour avions et son logement de gardien.
Relié par taxiway aux pistes d’envol, le terrain fait partie de l’emprise de l’aérodrome de GAP.
Le bâtiment a été dessiné en partant d’un volume simple – construit sur un seul niveau en rez-de-chaussée avec une toiture à deux pans – L’accès des aéronefs se fait depuis le Sud par une large porte coulissante qui s’efface à 85%, permettant la circulation des engins et offrant une source de lumière naturelle. Le logement de gardien à l’Ouest se veut discret, inséré au volume global.
Lauréat à la Quinzaine du Design des Jardins de Chaumont sur Loire 2003 Prix Spécial de la ville d’Orléans, concours « Kiosques et Gloriettes » 2006
Elle est si discrète, presque invisible, on l’imagine méduse… Elle est pourtant là, suspendue dans l’air, qui ressemble à de l’eau et, dans les bras de son arbre, elle flotte, ondule et s’évanouit dans le vert feuillage. Luna est une méduse des airs et c’est entre les flots du jardin qu’elle rend l’homme à la nature et donne à redécouvrir les territoires rares de la pensée. C’est bien dans la nature que Luna se révèle tant elle lui associée.
Sereinement elle s’élève, nous protège et nous coiffe ; c’est un abri, plutôt une « folie ».
Doucement, elle se pose pour se tapir au sol, c’est un refuge transparent qui couvre les hommes et les jeunes plantes, un auditorium de poche, une lanterne magique.
Souvent, dans la journée elle est source de rêverie où on y savoure le temps de flâner. La nuit tombée, c’est une balise dans les dérives du jardin des douceurs.
Luna est avant tout un abri de jardin, mais aussi une serre, une folie, un dispositif scénographique et, à l’occasion, un mini auditorium. Elle prend la forme d’une structure en parapluie demi sphérique ayant un diamètre de 3 mètres et une hauteur de 2 mètres.
On peut appliquer à Luna des mouvements verticaux ascendant et descendant grâce à un système de poulie lesté d’un poids (pot de fleurs rempli de terre et de végétaux)
Inspirés par leurs voyages et voyageurs inspirés, les maîtres d’Ouvrage, à la manière d’un dinner californien ou d’un bar à sushis japonais, ont souhaité un espace qui se veut global mais réparti en sous espaces, contemporain et fonctionnel à la fois.
Les couleurs résonnent avec les toiles de Cazaumayou.
Les formes des plafonds obliques intimisent et renvoient aux verres à pied.